• Voici la demande d'audience adressée aujourd'hui à l'Inspection Académique de Seine-Saint-Denis pour le jeudi 14 février.

     

    A M. l'Inspecteur d'Académie de Seine-Saint-Denis

    <?xml:namespace prefix = o />

    Les enseignants du collège Henri Wallon d'Aubervilliers massivement en grève depuis le lundi 11 février ont reconduit leur mouvement le 13 et le 15 février, les parents d'élèves appelant quant à eux à une opération « Ecole déserte » le 14 février. Ils demandent à être reçus à l'Inspection Académique par un interlocuteur ayant pouvoir décisionnel sur les revendications suivantes :

    -annulation de la suppression d'une division en 3e ;

    -création d'une division en 6e ;

    -abondement de 3h de <?xml:namespace prefix = st1 /><st1:PersonName w:st="on" productid="la DHG">la DHG</st1:PersonName> pour le maintient de l'enseignement de l'italien en 4e ;

    -la nomination d'une infirmière sur le poste le poste laissé vacant depuis la rentrée ;

    -situation des personnels de Vie Scolaire.

    A Aubervilliers, le 13 février 2008

     


    votre commentaire


  • 11 commentaires
  • La grève continue. REndez-vous mercredi matin à 10h devant le lycée pour manifester dans Aubervilliers en allant chercher les autres établissements de la ville. Le parcours a été négocié de main de maître. Apportez de quoi faire du bruit, des couleurs et du monde.

    3 commentaires
  • Environ 60 personnes (profs et élèves) se sont rendues devant le rectorat de l'académie de Créteil. Le rectorat a débuté en disant qu'il ne pouvait recevoir que 5 personnes, devant le nombre de postes supprimés, nous lui avons dit que la délégation devait être plus importante. Finalement, une délégation de 8 personnes a été recue (2 profs de collège, 3 profs de lycée, 1 CPE lycée et 2 lycéens) ... Et dans la salle, nous étions 8, ils étaient 3, 6 chaises restaient vides...

    Nous avons été reçus par une inspectrice d'académie et 2 responsables du rectorat. Ils n'avaient aucun pouvoir de décision. Ils étaient là pour écouter nos doléances et nos revendications, prendre des notes et transmettre le tout au recteur.

    Nous leur avons dit que les suppressions de postes et de classes étaient totalement inacceptables dans notre établissement qui cumulait déjà de nombreuses difficultés. Ces trois personnes nous ont écoutés poliment en faisant part de leur compréhension de notre colère et nous ont promis d'en faire part au recteur.

    Hormis le discours habituel, il n'est rien sorti de cette entrevue. Dans tous les cas, nous leurs avons dit et redit que nous étions déterminés à continuer notre mouvement pour réclamer le maintien de tous les postes et de toutes les classes et refuser les heures supplémentaires qui pourraient être utilisées pour créer des postes.

    Personne n'est dupe des arguments du rectorat, nous savons tous que le meilleur moyen de gagner est d'élargir le mouvement à d'autres établissements, de consolider le soutien des parents et de créer un rapport de force qui le fasse céder.


    votre commentaire
  • Ce blog est destiné à donner des informations sur le mouvement, merci de ne pas s'en servir comme d'un cahier de texte.

    1 commentaire